La Belle au bois dormant
Ballet en trois actes de Piotr Ilyitch Tchaikovski (1890) d’après le conte de Charles Perrault
Chorégraphie et mise en scène : Rudolf Noureev
Décors : Ezio Frigerio
Costumes : Franca Squarciapino
Lumières : Vinicio Cheli
Orchestre de l’Opéra national de Paris / Direction musicale : Fayçal Karoui
Durée : 2h46
Âge conseillé : Tous publics, à partir du Lycée
Genre : Captation Ballet
Synopsis
La Princesse Aurore est l’objet d’une malédiction de la terrible Fée Carabosse : le jour de son seizième anniversaire, elle sera plongée dans un profond sommeil. Une seule chose pourra la ramener à la vie : le baiser passionné d’un Prince charmant…
« Ballet des ballets », La Belle au bois dormant demeure un des joyaux du patrimoine de la danse. Virtuosité, somptuosité des décors et costumes recréent la splendeur de l’un des plus brillants chefs-d’œuvre du répertoire.
« Ballet des ballets », comme le qualifiait Rudolf Noureev, La Belle au bois dormant demeure un des joyaux du patrimoine de la danse. Créé en 1890 au Théâtre Mariinski de Saint-Pétersbourg, il est l’œuvre conjuguée du chorégraphe Marius Petipa et du compositeur Tchaïkovski. S’inspirant du conte de Charles Perrault, ils conçoivent un « ballet féerie » où s’entremêlent le rêve et la réalité, où fées et marraines, forces du Bien et du Mal se disputent le sort de deux jeunes gens. Il faut attendre 1989 pour que Rudolf Noureev remonte l’œuvre pour le Ballet de l’Opéra d’après la chorégraphie originale. Reprenant le découpage et la structure de la pièce, transmis par des générations de danseurs, il conçoit une chorégraphie éblouissante de virtuosité académique, entre fastueux ensembles et pas de deux. La somptuosité des décors et costumes imaginés par Ezio Frigerio et Franca Squarciapino recréent la splendeur de l’un des plus achevés et brillants chefs-d’œuvre du répertoire classique. (FraCinéma)
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